Résumé
« J’ai décidé, avec ce livre-testament, de ne jamais brider ma plume. J’écris sans scrupule. Je livre, sans aucune précaution pour les âmes sensibles, le fond de ma pensée, avec l’obsession de relever le pays, de le redresser, de le sortir du cloaque.
Je suis hanté par la disparition du peuple auquel j’appartiens. Je vois le gouffre s’ouvrir. Comme disait Chateaubriand à propos de Fouché et Talleyrand, je vois le vice appuyé sur le bras du crime, je vois la complaisance appuyée sur le bras des lâches. Le consentement des autorités intellectuelles, morales et spirituelles. Le grand affaissement. On a perdu la matrice. Bientôt la France habitera encore au même endroit, mais elle aura changé de résidents. La brutalisation et la mutation du peuple d’origine ouvrent déjà sur un nouvel espace qui se dessine.
J’ai vécu tout cela depuis un quart de siècle de décrépitude. Je connais la vie publique de l’intérieur. Je connais, pour les avoir fréquentés, les recoins des coulisses tout autant que le devant de la scène : le parjure et l’exhibition qui composent la matière première de la politique. J’ai vu comment s’est mis en place le populicide français.
Il est temps, aujourd’hui, pour moi, de tout dire, sans retenue mondaine, sans ménager quiconque. Prenant la main de la petite Espérance, j’adresse une ode au Français de souche ainsi qu’au Français de désir, et un appel à un jeune Français qui veut encore y croire.
Je parle devant l’Histoire. C’est peut-être mon cri ultime, le message final, le dernier dépôt, le fruit de la dernière mise en garde avant qu’il ne soit trop tard. »
Critique
Dans son nouveau livre « Populicide« . M. de Villiers explique qu’il va parler sans fard et qu’il dira ce qu’il a à dire quoi qu’il en coûte. Dans la lecture d’ouvrages pseudo historiques, la manipulation est nocive au peuple lui-même qui est censé être sauvé du pire, mais le pire est dans la foi des crédules. Il ressuscite un vieux rêve de pureté nationale, habillé de grands mots et d’une douleur théâtrale. Il tire une leçon de la violence des récentes manifestations, de l’abdication judiciaire et de l’inaction du pouvoir. L’État n’est plus capable d’assurer notre sécurité, ce qui devrait être son premier devoir. Et il parle des causes de cette situation : l’immigration massive. Avec l’Europe sans frontières, amenant cette immigration massive, on peut craindre à juste titre que l’histoire se répète toujours. On comprend qu’on va lire dans le passé notre probable avenir, car ces nouveaux citoyens universels, détachés de leur passé et de leurs traditions, n’ont plus rien en commun, et vont naturellement s’affronter entrainant ainsi la fin de cette civilisation. Ce livre constitue un avertissement qui s’adresse d’abord à nos politiques.
On passe alors d’un empire chrétien-hellénistique à un sultanat islamo-turc (tiens donc, l’islamisation), une société multiculturelle, en abandonant la défense de notre pays judéo-chrétien. Philippe de Villiers nous aura mis en garde : « il y a péril en la demeure » Que va faire la France, pour mieux tordre le cou aux trahisons et à l’invasion qui viennent ?
Je vous conseille ce livre très bien écrit, à lire et relire.
Hugues Marcouyau, le 22 octobre 2025 pour clicinfospectacles.fr