De Gilles-Williams Goldnadel au Edition Fayard
Résumé :
Français, mâles blancs, Juifs… Cocus de tous bords qui me lisez, unissez-vous. Vous avez été abandonnés par des juges de basse-cour, des journalistes perroquets, un président chauve-souris qui change de discours à la façon de La Fontaine : « Je suis oiseau, voyez mes ailes, je suis souri, vive les rats ». Pour avoir collaboré à la pose de vos cornes, vous êtes un peu à blâmer… Cela ne m’empêche pas de vous plaindre et de vous aimer. »
L’homme blanc, le Français, le Juif, l’hétérosexuel, l’usager de l’audiovisuel public… Tous sont les cocus de l’époque. Des cocus souvent consentants et qui acceptent même de payer la chambre !
Avec sa plume acerbe et ironique, Gilles-William Goldnadel décrit les racines idéologiques et les rouages de l’inquiétant système wokiste devenu hégémonique et qui exclut sans-cesse, au nom de l’antiracisme, de lutte contre l’islamophobie ou de la domination masculine, quand ce n’est pas le devoir de réparation pour les crimes de la colonisation. Un texte où, comme dans Journal d’un prisonnier, il ne manquera pas de se mettre en scène de la plus caustique et la plus surprenante des façons !
Gilles-William Goldnadel il prend son envol, au gré du vent au-dessus d’un nid de cocus, puisque seuls les cocus blancs français sont ciblés. Il s’adresse sans langue de bois aux différents cocus français. Dans ce livre vous montrer que l’homme blanc, le Français, le Juif, l’hétérosexuel, au nom de l’antiracisme, de lutte contre l’islamophobie. La réparation pour les crimes de la colonisation. En résumé, tous les cocus blancs, les cocus mâles blancs et les cocus juifs.
Hugues Marcouyau, le 23 octobre 2025 pour Clicinfospectacles.fr